LE MOT DU PRÉSIDENT

   Chères adhérentes, chers adhérents,


8 mars, journée internationale des droits de la femme.
Nous venons de si loin et pourtant il nous reste un long chemin à parcourir.
La date du 4 mars doit être marquée d’une pierre blanche pour deux événements.
Amélie VERDIER prend ses fonctions à la tête de la DGFIP. Première femme de toute l’histoire de la DGI, de la DGCP et de la DGFIP. Nous lui adressons nos félicitations pour cette nomination et nous lui souhaitons la bienvenue.
Le même jour, le Parlement réuni en Congrès à Versailles, ce lundi 4 mars a voté en faveur de l'inscription de l'interruption volontaire de grossesse dans la Constitution.
Quelques semaines en arrière, le Parlement a adopté l’individualisation par défaut du taux d’imposition pour l’ensemble des foyers fiscaux. Cette mesure de justice fiscale est destinée à mieux répartir la charge de l’impôt au sein du couple. La différenciation du taux d’imposition correspond à un engagement de la Première ministre Élisabeth Borne, pris en mars dernier, dans le cadre du plan quinquennal pour l’égalité femme-homme. « La fiscalité ne doit pas être un frein à l’émancipation des femmes, notamment celles qui ont un écart de salaire important avec leur conjoint », avait expliqué la cheffe du gouvernement.
Pour autant, en matière de parité femme/ homme, tout a-t-il été fait ? Certainement pas.

Je vous invite à parcourir la lettre n°17 de l'ADAFiP qui rappelle d'où nous venons, présente les données relatives à la situation actuelle et reprécise nos attentes.

 

Bien à vous,
Samuel Barreault
Président de l’ADAFiP